Tout l’or du monde

Un hymne au métier d’instituteur

Ancien trader devenu instituteur, Gilles Vernet offre ici un véritable hymne à l’enseignement. Il y a encore quelques années, arrimé aux cours de la bourse, pouvait-il soupçonner toute la richesse humaine qu’il allait trouver dans une classe d’école ?

Son parcours est un saut entre deux mondes que tout sépare. Un saut qui nous invite à interroger la place dévorante de l’argent dans nos vies et dans notre société. Ne passe-t-on pas parfois à côté de l’essentiel ? Ne devient-on pas esclaves de l’accumulation alors que la simplicité et l’attention à l’autre nous rendent plus libres ?

Ce livre révèle ainsi la beauté de la transmission : comme le récit de cet opéra que les élèves parviennent à créer avec leur instituteur au fil de deux ans de travail. Une expérience inoubliable, à l’image de celles qui permettent de trouver vraiment un sens à l’existence.

Préface d’Ilios Kotsou, auteur d’un Éloge de la lucidité (2014) ainsi que de nombreux autres ouvrages notamment avec Christophe André et Matthieu Ricard

« Quelle force du récit ! »
Christopher Pollmann

En librairie le 10 février 2021 aux Editions Bayard

Tout s’accélère – Comment faire du temps un allié ?

Et si on ralentissait ?

Pourquoi nos sociétés recherchent-elles toujours plus de croissance ? Pourquoi, alors même que nous avons de plus en plus d’outils pour «gagner du temps», avons-nous de plus en plus l’impression d’en manquer ? Peut-on vivre sereinement dans un monde chronophage ?

Traité de méditation, émaillé de citations, d’exemples et d’exercices, ce guide de développement spirituel permettra à tout un chacun de réorienter sa vie et de retrouver le chemin d’un présent à la fois banal et prolifique.

«Ce livre est une bouffée d’oxygène. Et Gilles Vernet une inspiration.»
Préface de Nicolas Hulot

Sortie le 25 mai 2017 aux Editions Eyrolles

Maman mourra un jour

Un mot de Gilles Vernet

«Dès les premières minutes du film, je parle de ce matin d’août où le temps s’est brusquement arrêté quand j’ai appris que ma mère était condamnée. Cet événement a profondément changé la direction de ma vie. Dans Maman mourra un jour je partage l’histoire de ce chemin et de cette prise de conscience sur notre rapport à la vie, à la mort et au temps.

Ce parcours aux côtés de ma mère m’a fait comprendre pourquoi la confrontation à la mort – cette confrontation abyssale que recommande Bouddha dès qu’elle est possible et qui se fait hélas de plus en plus rare – est vitale et nécessaire…

C’est qu’elle nous recentre immédiatement sur l’essentiel : le sens de la vie et l’amour.
D’ailleurs après un enterrement, on est souvent plein de bonnes résolutions, on va changer de vie, revoir tel et tel ami, s’occuper de ses proches, passer un peu de temps au soleil de la chaleur humaine…

Parce que si on y réfléchit bien, quelle est la seule chose qui face contrepoids à la mort, qui soit à sa hauteur existentiellement, sinon l’amour ?
Imaginons-nous éternels… Serions-nous encore capables d’aimer ?»